Rencontrer adultes haut potentiel

Comme une girafe au milieu des zèbres – Trouver son troupeau

Une fois que l’on a déterminé que l’on était une personne à haut potentiel, on se met généralement à la recherche d’autres humains qui sont « comme nous ». C’est génial ! On va enfin se faire des amis qui sont sur la même longueur d’onde, qui vont vraiment nous comprendre et qui fonctionnent de la même façon. Et ça va être facile puisqu’il existe tout un tas de plateformes dédiées à notre communauté, autant de viviers dans lesquels il suffit de plonger la main pour en retirer un nouveau meilleur ami.

Pas si vite, papillon ! Tant mieux si pour certain(e)s cela ne pose aucun problème, mais en fait pour beaucoup de gens ce n’est pas toujours si simple : il ne suffit pas d’être en présence d’un groupe d’autres HP pour de suite se sentir dans son élément et y trouver ses pairs, ses âmes sœurs ou ses doubles. Il est fréquent de se retourner sur son aventure et de rétrospectivement se rendre compte que les premières tentatives de connexion ont été peu fructueuses et décourageantes ; peut-être même s’est-on (à nouveau) senti comme un extraterrestre fraîchement débarqué au milieu du groupe, ou comme une girafe au milieu des zèbres (oui, désolée, la métaphore était facile et j’avais une bonne photo sous la main, donc…).

Que vous débutiez dans votre quête, soyez en pleine recherche ou ayez (temporairement) jeté l’éponge, je vous propose quelques réflexions et éléments à prendre en considération pour vous aiguiller sur votre route et vous mener plus facilement à bon port. Et emportez plusieurs paniers, car on ne mettra pas tous nos œufs dans le même.

Des zèbres et des flocons

En France, beaucoup de personnes à haut potentiel affectionnent le petit nom de « zèbre ». La plupart savent à quoi cela fait référence : les rayures de ces animaux sont uniques à chaque individu ; il n’y en a pas deux les mêmes. Il existe d’autres métaphores, comme celle de Marylou Streznewski, qui écrivait dans son livre « Gifted Grownups » que les personnes HP sont aussi différentes les unes des autres que des flocons de neige.

La reconnaissance de ces différences vise entre autres à expliquer l’expérience de la douance à ceux qui ne sont pas concernés par elle, à braver les stéréotypes et justifier qu’on ne répond pas au fantasme selon lequel on devrait être au moins docteur en astrophysique ou un inventeur de génie. Vue sous cet angle, la constatation de la diversité semble évidente aux personnes à haut potentiel. Mais étrangement, lorsqu’elles sont en présence d’autres HP, elles ont tendance à l’oublier… Il arrive fréquemment que nous préférions voir nos ressemblances plutôt que nos dissimilitudes. C’est humain et a ses côtés positifs, mais c’est aussi là que peut se former le terreau de notre déception. Il est bon de se rappeler qu’à l’intérieur de la « communauté », nous sommes tous différents. Il ne s’agit juste de modérer nos espoirs à chaque nouvelle rencontre pour pouvoir rebondir si elle n’a pas donné ce que l’on en espérait.

Plus spécifiquement, quelles sont les variations qui rentrent en ligne de compte ? Certaines sont fondamentalement liées à la douance et d’autres à des caractéristiques juxtaposées, mais une fois que l’on en fait la somme, il devient évident combien chaque « pair » dont vous croiserez le chemin est à nul autre pareil et donc plus ou moins compatible avec vous-même.

Caractéristiques liées à la douance

Type(s) prédominant(s) d’intelligence

Nous l’avons déjà évoqué, l’intelligence n’est pas un phénomène monobloc ; il existe plusieurs zones dans lesquelles elle s’exprime, de façon plus ou moins prononcée. Selon les modèles, on les découpera et les nommera de façon différente, mais le fait est que les performances intellectuelles mesurées par le QI ne sont pas le seul canal d’expression de la douance.

Quel que soit le nombre de zones que l’on retienne, un individu donné sera caractérisé par un cocktail unique de types d’intelligences, selon des proportions variables, ce qui lui confèrera un mode de pensée qui lui est propre. Cette singularité coïncidera plus ou moins bien avec celles d’autres personnes à haut potentiel ; certaines se comprendront fort bien, alors que d’autres pourraient carrément parler des langues différentes. Par exemple (et en fonction de leurs autres spécificités), quelqu’un qui est très porté sur une réflexion de type existentiel ou spirituel n’aura probablement pas les mêmes préoccupations qu’un interlocuteur qui préfère s’adonner à des considérations purement matérielles ou essentiellement logiques. C’est dans ce cas plus qu’une question de centres d’intérêts ; c’est vraiment une autre façon d’envisager le monde.

Les niveaux de douance

Dans la plupart des tests, on considère quelqu’un comme surdoué si son QI s’éloigne d’au moins deux écarts-types par rapport à la moyenne (100 sur l’échelle de Wechsler), et cette variation standard ayant été calculée à 15, multipliée par deux, cela nous amène bien au seuil de 130 qui caractérise la douance. Mais cela ne s’arrête pas là. Passé ce cap, à chaque fois que l’un ajoute un écart-type au « score » (145, 160 voire plus dans certains modèles), on rentre dans une autre catégorie de haut potentiel. C’est un peu arbitraire, mais il semblerait que la fourchette dans laquelle on se trouve fasse une différence, en tout cas en ce qui concerne les enfants et les aménagements scolaires nécessaires en fonction de leur profil. Bien sûr, plus on monte dans les chiffres, moins il y a d’individus qui répondent aux critères, courbe de Gauss oblige.

Encore une fois, le QI ne permet d’entrapercevoir qu’une petite partie de l’expérience de la douance. C’est pourquoi il est bon d’envisager d’autres façons de voir ces niveaux, d’une façon plus qualitative, qui peut donc s’appliquer à chaque zone d’intelligence. On peut notamment parler de fonctionnements cognitifs différents, variant du plus concret au plus abstrait. Par exemple, il y a plusieurs façons d’envisager le temps, depuis la division d’une heure en minutes puis secondes aux considérations les plus métaphysiques. La pensée peut se dérouler de façon linéaire, une étape après l’autre ; pour d’autres, les étapes intermédiaires ne sont pas utiles et on passe directement du point A au point F (« skip-thinking ») ; d’autres encore vont discerner de suite une cohérence dans un ensemble de données complexes qui fera sens pour eux, de façon non-linéaire cette fois.

Certains HP ont dans leur esprit une sorte de galaxie, où les systèmes solaires représenteraient des domaines séparés pour la plupart des gens, mais eux voient les interactions complexes qui se trament dans le tout, comment les ensembles s’influencent réciproquement. Ce type de pensée tend vers la métacognition et mène à souvent raisonner par métaphores, analogies ou paradoxes. Elle ne se déroule pas nécessairement en mots et peut prendre la forme d’images ou d’autres formes de visualisations, voire de sensations, de telle sorte que l’ensemble en devient difficilement exprimable et explicable ; du coup cette complexité ne se perçoit pas toujours bien « de l’extérieur ». En fonction du type cognitif de chacun, le point où le questionnement ou les associations de pensées atteignent un niveau « suffisant » est différent. Autrement dit, il faut pouvoir suivre ! Et si les modes de fonctionnement sont trop éloignés, la communication peut s’avérer frustrante pour les deux parties (trop de complexité ou pas assez).

L’intensité

Il existe de nombreuses façons d’envisager l’intensité. C’est un concept difficile à circonscrire et de plus il peut parfois « appuyer sur un point sensible », puisque c’est habituellement cette intensité hors du commun qui appelle les commentaires du style « Tu es trop… » que rapportent souvent les HP. Elle peut être liée directement à la douance, ou plutôt à des hyperstimulabilités (qui s’y superposent ou non), voire à une hypersensibilité, ce qui la rend également difficile à classer. Quoi qu’il en soit, l’intensité est une caractéristique qui varie en nature et en force également au sein de la communauté HP.

L’intensité peut s’exprimer dans n’importe quel domaine, intellectuel, émotionnel, sensoriel, psychomoteur, valeurs morales plus ou moins fortes, … Elle peut se manifester de façon intériorisée (on pourrait parler de profondeur) ou extériorisée, et s’apparenter à une force calme ou se déverser comme une avalanche, être plus ou moins visible ou discrète. Il y a peut-être là-dedans une question d’introversion ou d’extroversion ou encore de type de personnalité. Peut-être aussi peut-elle être expliquée par des phénomènes plus insaisissables encore du type « énergétique ». Sans doute faut-il ici également prendre en considération les impacts des « secondes exceptionnalités » (TDAH, autisme, et généralement toute forme de neurodiversité) qui peuvent se manifester sous la forme d’une intensité ou au contraire comme une difficulté à accueillir l’intensité d’autrui.

Toujours est-il que l’interaction de personnes qui ne sont pas bien alignées en termes d’intensité peut être éprouvante, requérir des aménagements de part et d’autre (encore faut-il qu’on pense que cela en vaut la peine d’après d’autres critères) ou simplement ne pas fonctionner (l’une des parties trouvant soit que l’échange est épuisant, soit qu’il est trop fade). Être perçu comme intense ou non n’a rien de bon ou de mauvais. Il faut juste considérer s’il y a une adéquation entre l’émetteur et le receveur en termes de volume et de nature du signal.

Petite note sur la multipotentialité, qui après tout est peut-être aussi une question d’intensité au niveau des centres d’intérêts : un multipotentialite qui a bourlingué s’y connaît peut-être raisonnablement dans un certain nombre de discipline. Mais il faut se rappeler que le point où la curiosité de chaque scanner est satisfaite lui est propre. Il est donc possible qu’après un début de conversation enflammé, un passionné se trouvera désappointé lorsque son interlocuteur aura atteint sa limite dans ce domaine particulier. C’est là aussi une caractéristique à prendre en compte.

Les HP sont des gens comme les autres…

… hormis le fait qu’ils sont HP. C’est un peu bizarre, exprimé comme ça, je sais. Ce que je veux dire c’est qu’on aurait parfois tendance à vouloir trouver un unique ami qui comble tous nos besoins et partage nos activités, et à voir nos pairs comme des doubles en puissance, ce qu’on n’espèrerait pas dans un autre contexte.

Considérez l’histoire de (fictive) de Florian, qui se situe pile au milieu de la courbe de distribution normale (allez, un peu vers la droite, on va dire) : il aime le tennis, les concerts de métal alternatif, les films de Pedro Almodovar et boire un verre avec ses collègues. Je parie qu’aucun Lecteur ne s’est dit que Florian n’avait qu’un seul ami avec lequel il soigne son revers, se jette dans les pogos au bas de la scène, se cale bien sur le divan sous une couverture pour regarder un DVD, et qu’en plus il travaille avec lui ! Eh ben bizarrement, il y en a qui, généralement au tout début de la découverte de leur douance, s’attendraient à trouver un copain HP extraordinaire avec qui parler de philosophie, faire de la méditation transcendantale, lire de la poésie, avoir des conversations à cœur ouvert sur ses émotions, résoudre des équations du quatrième degré, expérimenter le water-polo, sauver l’environnement… et aller aussi au concert de métal alternatif. Une fois qu’on l’a, on ne le lâche plus !

En fait, il y a un biais qui touche certaines personnes concernées par la douance : elles ont été tellement privées de relations nourrissantes, « de leur niveau », qu’elles se disent que s’il y avait une personne, une seule, avec qui elles pouvaient interagir sans se contorsionner mentalement ou moralement, ce serait déjà énorme ! Alors on espère que la perle rare aimera tout ce qu’on aime, sinon il faudra en trouver une deuxième et… Même pas en rêve ! En fait, cette façon de penser est plutôt un obstacle.

Il est illusoire de penser qu’une seule personne est à même de combler absolument tous vos besoins. Ce n’est d’ailleurs pas un cadeau pour elle : vous imaginez un peu la pression ? Il est beaucoup plus vraisemblable de finir par trouver plusieurs camarades, qui chacun auront quelque chose d’unique à vous apporter, et cela tout naturellement. Je vous l’accorde, cela prend du temps, et quand on est affamé d’interaction on n’a pas l’impression d’avoir le temps et la force d’encore chercher. Toutefois, à partir du moment où on a eu une première fois quelque chose à se mettre sous la dent et qu’on sait qu’on pourra y revenir, la perspective change ; on peut envisager d’aller voir un peu plus loin. Et n’oubliez pas que pour faire du tennis et aller se trémousser avec des décibels plein les oreilles, il y a des Florians qui vous accompagneront avec joie sans se triturer les méninges !

Êtes-vous prêt à partir à la pêche ?

C’est une vraie question, pas une figure de style pour vous inciter à vite (vous) lancer (vos lignes) dans les forums et autres plateformes de rencontre. Parce qu’il n’est pas garanti que vous soyez complètement équipé(e)s.

S’entraîner

Dans le tout premier article, sur la découverte de la douance à l’âge adulte, nous avons discuté du fait qu’il s’agissait d’un cheminement en plusieurs étapes. En fonction d’où on se trouve sur ce chemin, on est plus ou moins prêt à interagir de façon fructueuse. Il y a un mouvement de l’intérieur vers l’extérieur à mesure que l’on apprend à mieux se connaître. Cela ne signifie aucunement qu’il est préférable de se réfréner avant d’initier quelque contact que ce soit, au contraire : communiquer avec ses pairs est quelque chose que l’on doit apprendre sur le tas ! Et à terme, on peut en retirer la validation dont on a besoin ; il y a un mouvement de l’extérieur vers l’intérieur pour mieux se connaître.

Dans la section précédente, je vous parlais d’attentes disproportionnées placées sur les épaules d’une seule personne. Retomber dans le domaine du raisonnable est quelque chose qui se travaille également par la pratique. Ce type de comportement un peu maladroit est une des conséquences possibles du « gifted trauma » (d’ailleurs, gardez à l’esprit qu’un trauma tout court non encore traité peut être un sérieux obstacle à tout type de communication, avec qui que ce soit).

La défiance

Une autre manifestation de ce trauma est qu’on ne sait parfois simplement pas comment communiquer d’égal à égal avec un pair. Du coup, tout un tas de choses se passent dans nos têtes, avec un petit parfum de syndrome de l’imposteur. On a l’impression de devoir défendre le fait qu’on est bien HP, ou de devoir encore se justifier d’être soi-même. Résultat ? On est sur la défensive, voire un peu agressif. Franchement, dans beaucoup de messages sur les forums, ça se sent. C’est d’ailleurs un motif de désinscription qui est fréquemment cité par les personnes qui cessent de les fréquenter. Je pense à titre personnel que les petites guéguerres entre partisans de tel auteur (un génie pour les uns, un charlatan pour ses détracteurs) ou de telle ou telle théorie découlent de cette insécurité. Il ne faudrait pas se laisser dire que ce sur quoi nous avons basé notre compréhension de nous-mêmes est faux ! C’est évident. Cela signifie aussi que nous ne sommes pas encore assez sûrs de nous pour rester sereins sans soutiens théoriques.

D’un côté, cette défiance est normale, elle fait partie du processus ; mais de l’autre côté, il est important de prendre conscience dès que possible de cette tendance pour pouvoir se présenter sereinement en tant que soi-même sans complexe mais avec toute sa complexité. Cela permet de regagner son ouverture d’esprit, de faire de la place à tous les courants, même si on n’y adhère pas personnellement, et surtout de ne pas imposer son mal-être aux autres. Ah oui, et accessoirement pouvoir se trouver des camarades ! Et ce sans penser qu’ils sont ou doivent être nos alter egos.

C’est pas le moment…

Selon l’endroit où vous vous trouvez sur votre chemin de découverte personnelle, vous aurez envie de parler de choses différentes. On voit souvent de gens qui commentent sur les forums au moment où ils se demandent s’il faut passer un test de QI, comment ça se passe, etc. Un peu après, ils reviennent en demandant quels livres pourraient les aider, quelle est la place des émotions, etc. Bref, demander des trucs de HP sur des plateformes de HP. Quand on traîne dans les parages depuis un certain temps, on en a vu passer des dizaines, de commentaires comme ça. On a répondu à quelques-uns d’entre eux, et on s’est répété, et finalement on n’y répond plus. Les personnes qui sont à un stade d’exploration similaire à celui des nouveaux arrivants se feront quant à elles un plaisir de faire part de leur propre expérience.

Tout ça pour vous dire que, même virtuellement, vous ne pourrez pas rencontrer tout de suite toutes les personnes qui sont pourtant « là », et qui ont peut-être remarqué votre arrivée dans le groupe. Ce n’est pas forcément le bon moment. Avec le temps, on n’a plus tellement envie de parler de trucs de HP, vu qu’on l’a déjà fait suffisamment, mais plutôt de parler de trucs en général… de façon HP. Mais ça demande quelques heures de vol supplémentaires et d’avoir pratiqué un peu l’interaction avec ses pairs. Ce n’est pas la même limonade, et des fois ce ne sont même pas les mêmes plateformes. Selon les moments, il est peut-être bon d’aller explorer ce qui se passe ailleurs.

En conclusion

La liste d’ingrédients dans ce qui fait de chaque personne à haut potentiel quelqu’un d’unique et éclaire le degré auquel deux HP sont compatibles aurait presque de quoi rendre un chef trois étoiles ou un mixologue perplexe. Il y a les types et les niveaux de douance, l’intensité, l’introversion ou l’extroversion, les types de personnalité, la présence ou non de multipotentialité, des centres d’intérêts variés en largeur et profondeur, les valeurs, les attentes, les traumas, la progression, la pratique,… N’en jetez plus, la coupe est pleine ! Ça n’en a peut-être pas l’air comme ça, mais c’est un appel à ne pas vous décourager. Ce qu’il faut savoir, surtout au début de son cheminement dans le monde de la douance, c’est qu’il n’y a rien de magique et qu’un HP n’en vaut pas un autre.

Il n’y a absolument rien de rédhibitoire dans toute cette variété ; vous n’avez pas besoin de tomber sur votre double ! On peut s’accommoder de tous les types de différences, quelle qu’en soient la nature ou les combinaisons, mais à dose maîtrisée. Certaines interactions sont nourrissantes et nous donnent de l’énergie ; d’autres en prennent mais nous apportent autre chose en retour. L’important sera d’avoir un bon équilibre entre les divers types de relations, donc d’en avoir plusieurs et de ne pas espérer qu’une seule personne soit à même de combler tous nos besoins.

Où est-ce qu’on trouve des candidats amis ? Il y a plein de groupes ouverts et fermés (sur acceptation) sur Facebook, que vous trouverez assez aisément, ainsi que des plateformes sur Internet. Si vous parlez plusieurs langues, n’hésitez pas à aller voir ce qui se passe sur les réseaux à l’international. En fait, les cultures reliées à chaque langue donnent un éclairage tout à fait particulier sur la douance (oupsie, j’aurais dû ajouter un paragraphe sur la culture aussi, mais bon, vous voyez de quoi je parle). Et si vous pouvez rencontrer des pairs en personne ou à défaut par vidéo interposée, c’est encore mieux que par écrit, car il y a des affinités qui peuvent se révéler par le langage non verbal dont on n’a pas idée.

Ça peut vous prendre des années de construire votre petit écosystème autour de vous, mais ne baissez pas les bras ! Et n’oubliez pas Florian!

Métacosme est un blog dont le but est de mettre à disposition des lecteurs francophones des informations de cheminement personnel et un éclairage psychologique et philosophique original.

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Sources :

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